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Cette décision a été prise par le conseil régional réuni samedi dernier en présence du secrétaire général du SNPT Abdelhamid Fatifhi, et ce pour condamner la politique de marginalisation et d’indifférence à l’égard des revendications légitimes des postiers et dénoncer les résultats du classement sur le tableau d’avancement relatif à l’année 2008.
Contacté par nos soins, Mohamed Amine Semlali, membre du conseil national dudit syndicat, nous a déclaré que cette grève se justifie par le pseudo-dialogue transformé en séances d’écoute par le gouvernement qui le vide de son essence même.
Alors que les postiers de Casablanca dont ceux des pôles courrier, messagerie et Barid Bank s'attendaient à ce que justice leur soit rendue en bénéficiant d’un quota plus élevé en termes d’avancement à l’instar d’autres villes, eux qui représentent 60% du chiffre d'affaires de la société, Poste Maroc persévère dans sa politique de marginalisation des efforts qu’ils consentent, ne leur accordant aucun intérêt, a-t-il poursuivi.
Casablanca enregistre un déficit patent en termes d’effectifs, et ce au moment où la population de la ville augmente et les services aussi, a souligné Mohamed Semlali. Résultat de ce manque de ressources humaines, nombre de postiers n’ont pas pu bénéficier de leurs congés annuels.
Les postiers de Casablanca demandent également que soient améliorées les conditions de travail dans l’ensemble des établissements postiers, particulièrement dans certains centres de distribution comme celui d’Anfa où les normes de sécurité et de santé ne sont pas respectées.