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planer un doute sur son avenir,
dimanche soir, après l'élimination
du pays-hôte dès le premier tour
de la CAN-2017, affirmant dans
un entretien rapporté par l’AFP
qu' «on en parlera plus tard»
Quel est votre sentiment après cette élimination ?
"Je suis désolé pour le public et pour l'équipe. Je dois féliciter mon collègue du Cameroun pour sa qualification. Nous étions entrés sur le terrain pour gagner. Le football n'est pas juste, avec ce poteau dans les arrêts de jeu et le gardien camerounais qui sort le grand jeu sur la dernière action. Contre la Guinée-Bissau, c'est tout le contraire, nous prenons un but sur un coup de pied arrêté à la 91e minute. Nous avons joué de façon régulière et moyenne, mais il nous a manqué les deux points perdus contre la Guinée-Bissau pour nous qualifier" (1-1 dans le premier match).
Avez-vous envie de rester au Gabon et de poursuivre votre première expérience africaine ?
"Parler de l'avenir est prématuré. Nous sommes tristes du fait de ne pas nous être qualifiés. Il ne faut pas parler de l'avenir pour l'instant. Si je vais rester? Nous en parlerons. Ce n'est pas le moment. Il faut parler avec les joueurs, avec tout le monde."
Vous aviez accepté de diriger le Gabon juste un mois avant la compétition: n'était-ce pas un pari risqué ?
"On ne peut pas pleurer à cause du peu de temps que nous avons eu. Nous nous sommes retrouvés le 5 ou 6 janvier. Nous n'avons pas eu le temps de jouer de matches amicaux. Les joueurs revenaient de vacances. Ce sont des circonstances qui existent parfois dans le football. Je suis content du travail des joueurs."