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L'actif net global des Organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) a ainsi progressé de 6,8% au 16 juin 2023 à 535,2 milliards de dirhams (MMDH) et ce, après la baisse de 15,5% enregistrée en 2022, précise BAM dans un communiqué publié à l'issue de la 17ème réunion du CCSRS.
Les souscriptions se sont orientées principalement vers les catégories Monétaires (+21,1 MMDH) et Obligations Court Terme (+19,8 MMDH), ajoute la même source, notant que les autres organismes de placement collectif continuent de connaître une évolution soutenue avec des encours sous gestion en augmentation de 5,7% à fin mars 2023, rapporte la MAP.
Et de souligner que cette croissance est essentiellement tirée par les fonds immobiliers dont l'actif net a atteint 61,3 milliards de dirhams à cette date.
S'agissant du secteur de la retraite, les principaux régimes de base continuent de connaître une situation financière difficile marquée globalement par l’importance de leurs dettes implicites et par l’épuisement de leurs réserves à divers horizons, selon le CCSRS
La réforme systémique de ce secteur à travers l’instauration de deux pôles (public et privé), actuellement en cours de discussion entre le gouvernement et les partenaires économiques et sociaux, vise à instaurer une tarification équilibrée des régimes de retraite et à résorber une bonne partie de leurs engagements passés non couverts.
Lors de cette réunion, le CCSRS a examiné et approuvé le rapport sur la stabilité financière au titre de l’année 2022 et fait le point sur l’état d’avancement de la feuille de route de stabilité financière couvrant la période 2022-2024.
Il a également passé en revue la synthèse des travaux de son sous-comité mensuel et noté que les indicateurs de suivi examinés continuent de montrer la solidité et la résilience du secteur financier marocain.
Le Comité, tout en saluant les efforts déployés ayant permis la sortie en février 2023 du Maroc de la liste « grise» du GAFI et puis en mai 2023 de celle de l’Union Européenne, s’est enquis des actions résiduelles visant à renforcer davantage encore le dispositif national de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT).