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“Dans la compétition, nous avons de quoi faire un palmarès qui va être à la hauteur du festival, du Maroc et du jury”, a-t-il dit lors d’une table ronde avec la presse en marge du FIFM 2013 qu’il présente comme “le meilleur festival“ de l’histoire de cette grande manifestation cinématographique.
Au-delà de la compétition officielle, le festival, avec ses Cinécoles, concours de courts métrages destiné aux élèves des instituts et écoles de cinéma du Maroc, “est en train d’aider la jeunesse marocaine à pouvoir créer un cinéma d’avenir”.
Il a indiqué, à cet égard, que “ce n’est pas un hasard si aujourd’hui le Maroc produit entre 20 et 25 films par an, ce qui n’était pas le cas il y a 13 ans. C’est un vrai motif de réjouissance”. M. Barde a souligné que l’engouement des productions étrangères pour le Maroc, en tant que destination de tournage, n’est pas surprenant.
“Le Maroc est un pays formidable, où il y a un savoir-faire en matière de production, avec des lieux de tournages, des studios, des techniciens. C’est un pays où il y a plus de 50 manifestations cinématographiques”, a-t-il relevé.