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Le jury de la compétition officielle (longs et courts métrages) est composé de Leila Shahid (Palestine), Marcella Said (Chili), Anissa Barrak (Tunisie), Newton Adwaka (Nigeria), Oussama Faouzi (Egypte) et Abel Jafri (France).
Né en 1948 à Tanger, Noureddine Sail est l'un des grands noms ayant marqué l'histoire de la cinéphilie marocaine, du fait qu'il fut notamment le fondateur de la Fédération nationale des ciné-clubs et des rencontres du film africain de Khouribga.
Critique de cinéma, M. Sail s'est distingué comme scénariste et producteur, en signant dans des films de Mohamed Abderrahman Tazi, "Le grand voyage" (1981), "Badis" (1988) et "Lalla Hobbi" (1996).
Comme auteur, l'ancien directeur général de la chaîne 2M a écrit un roman "L’ombre du chroniqueur" (1989), où la lettre A est absente.
Quarante-six films, dont 17 longs métrages, 13 courts et 16 documentaires, seront en lice pour le Tanit d'Or des Journées cinématographiques de Carthage.
Les films marocains en lice comprennent les longs métrages, "L'orchestre des aveugles" de Mohamed Mouftakir et "Much Loved" de Nabil Ayouch, les courts-métrages "Azays" de Ilias El Faris et "En dehors de la ville" de Rim Mejdi, et le film documentaire "The road Bread" de Hichem Elladdaqi.
“Mohammed V, les Chemins de la Liberté'' a été réalisé avec un traitement dramatique et historique inédit, a souligné son réalisateur, Ahmed El Maanouni lors d'une conférence de presse organisée pour annoncer la diffusion de cette trilogie.
Ce documentaire, un projet initié et produit par 2M, est un important travail de mémoire qui ouvrira aux téléspectateurs, notamment les jeunes, une fenêtre sur cette période clé de l'histoire du Royaume, à travers une écriture originale et fascinante, a-t-il fait savoir, notant que la lutte pour l'indépendance y est racontée de manière captivante à travers le vécu de familles de résistants, des récits d'historiens et des témoignages de personnalités et de personnes inconnues qui ont vécu cette période, donnant vie, ainsi, à une épopée que les nouvelles générations ne connaissent qu'à travers les manuels scolaires.