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Le vernissage d'une exposition intitulée "Trois regards sur l'œuvre de Jilali Gharbaoui" aura lieu, aujourd’hui, à la Villa des arts de Rabat (18h00).
"Le nom de Jilali Gharbaoui est étroitement lié à celui de Tioumliline. Il est donc important de rendre hommage à cette grande figure de la modernité, 44 ans après sa disparition, ici, par cette exposition qui a l'ambition de retracer son parcours et de souligner son lien avec le lieu", indique-t-on dans un communiqué de la Fondation ONA.
"Une autre façon de rendre hommage au peintre Jilali Gharbaoui" par trois artistes plasticiens de la nouvelle génération qui "recourent à des approches et matériaux différents", en l'occurrence Amina Rezki, Abdeljalil Saouli et Youssef Titou, qui ont été sollicités par Fouad Bellamine, commissaire de l'exposition, afin d'établir un dialogue avec l'œuvre de cet artiste dont l'oeuvre marque encore les esprits, ajoute-t-on. Leurs créations seront présentées au public lors de cette exposition qui se poursuit jusqu'au 29 novembre 2015.
Livres
La signature des livres de l'artiste-écrivain, Rachid Khaless "Quand Adam a décidé de vivre" et "Pour qu'Allah aime Lou Lou", en lice pour le Prix littéraire de la Mamounia, a eu lieu récemment à la Villa des arts de Rabat.
Artiste et écrivain, Rachid Khaless, qui enseigne à l'Université Mohammed V de Rabat, a publié en 2004, chez "l'Harmattan", le recueil de poésie "Cantiques du désert", préfacé par Abdellatif Laâbi.
En 2009, il publie son recueil "Dissidences" dans la collection "Espace expérimental". En 2014, le poète signe pour "la Maison de la poésie" au Maroc, son recueil "Dans le désir de durer", suivi de "Vols" et "L'éclat".
Il traduit une anthologie poétique d'Yves Bonnefoy sous le titre "Que ce monde demeure", livre paru en 2014. En 2015 paraissent "la traduction de la poésie" de Saâdi Youssef (Irak) et "Un mal comme l'amour", recueil de poésie de Hassan Najmi.