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Ce sont 26 longs métrages de 31 pays qui seront en lice au Grand prix des Amériques, principale récompense du Festival des films du monde (FFM) de Montréal du 27 août au 7 septembre, ont annoncé les organisateurs. C'est le tout nouvel académicien québecois Dany Laferrière qui sera le président du jury de la 39ème édition du FFM après le cinéaste français Claude Lelouch l'an dernier. Parmi les 26 films en concours au Grand prix des Amériques, la Turquie est largement représentée avec trois longs métrages, devant l'Espagne, l'Italie et la Russie avec 2 films chacune en compétition. Le FFM qui souffre de la proximité du Festival international du film de Toronto (10-20 septembre), se positionne sur le créneau de la découverte de réalisateurs de tous les continents. L'objectif est de présenter "les œuvres marquantes et inédites dont la programmation constitue la meilleure vitrine sur la culture cinématographique" mondiale, a rappelé Serge Losique, président du FFM de Montréal.
Censure
Tout le monde doit crever", "Pas d'amis sans fric" ou "Je ne veux pas aller en cours": autant de titres figurant parmi 120 chansons chinoises désormais censurées sur l'Internet par les autorités, qui fustigent leurs paroles pleines de "sexe" et de "violence" et leur "immoralité". Aucun particulier ou organisation ne sera plus autorisé à diffuser en ligne cette centaine de titres, qui "font l'apologie de l'obscénité, de la violence, du crime et contreviennent à la moralité publique", a martelé le ministère chinois de la Culture. La liste disparate publiée lundi contient très majoritairement des morceaux écrits et produits par des chanteurs ou des groupes inconnus. Parmi ces titres évocateurs "tombant sous le coup de la loi", on trouve encore "Miaulements" (mot à connotation érotique) ou "Journal d'un suicide". Cette liste "offre des cibles spécifiques pour l'autocensure des firmes du web", les sites étant censés supprimer eux mêmes les contenus incriminés, a précisé le ministère. Et d'ajouter que ceux qui ne se plieraient pas à la consigne "seraient sanctionnés sévèrement, conformément à la loi".