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L'actrice britannique Emilia Clarke, qui incarne Daenerys Targaryen dans "Game of Thrones", a annoncé jeudi avoir survécu à deux hémorragies cérébrales durant les premières années de la série à succès de la chaîne HBO.
Le premier accident, consécutif à une rupture d'anévrisme, est survenu le 11 février 2011 peu après la fin du tournage de la première saison, raconte-t-elle dans un long récit publié par le magazine "The New Yorker".
En proie à de vives douleurs et quasi-inconsciente, elle avait été hospitalisée en urgence. "Le diagnostic fut rapide et de mauvais augure: une hémorragie méningée, un type mortel d'accident vasculaire cérébral (...) J'avais 24 ans", se souvient-elle. Une opération lui évitera le pire mais elle se réveillera avec d'intenses douleurs et surtout souffrant d'aphasie, un trouble du langage. "Mon nom complet est Emilia Isobel Euphemia Rose Clarke. Mais je ne parvenais pas à me le rappeler. A la place, des mots sans queue ni tête sortaient de ma bouche", écrit la comédienne. "Au plus bas, j'ai voulu en finir. J'ai demandé à l'équipe médicale de me laisser mourir. Mon travail - le rêve de ma vie pour toujours - était axé sur le langage, la communication. Sans ça, j'étais perdue".L'aphasie disparait heureusement quelques jours plus tard et Emilia Clarke quitte l'hôpital un mois après son admission, pour reprendre ses activités et préparer son retour sur les plateaux de Game of Thrones pour la saison 2.
Parution
‘’Khenifiss de Tarfaya, la légende du petit scarabée’’ est l’intitulé d’un ouvrage de Karim Anegay, qui vient de paraitre aux éditions ‘’La Croisée des Chemins’’. Cet ouvrage est publié dans le cadre d’un partenariat entre l’Agence du Sud, le Centre des études sahariennes et le Centre national des droits de l’Homme. Son auteur, qui met le lecteur dans la peau d’un ‘’Indiana Jones des temps modernes’’, s’est découvert une vraie passion pour cette région, il y a quinze années, lors de son engagement en tant qu’assistant technique à la création du Parc national de Khenifiss (septembre 2004-mai 2006). « J’ai connu, il y a bientôt quinze ans, une région de Khenifiss âpre et sauvage, majestueuse dans son écrin de sable et d’eau. Sa beauté a sans doute été préservée jusqu’alors surtout à travers son éloignement, et attirer des foules de curieux peut remettre en question ses équilibres fragiles. Je forme donc le vœu que ce livre aide à la faire découvrir à ceux qui voudront l’apprécier en sachant la respecter et contribuer à sa préservation.», écrit Karim Anegay.