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L'un des monuments du folk, Neil Young, estime que le streaming "ça craint" et que même les vieilles cassettes à bande magnétique avaient un meilleur son que les plateformes de musique en ligne. Le chanteur canadien, qui a indiqué qu'il souhaitait retirer son oeuvre des sites qui diffusent de la musique en flux sans téléchargement, a affirmé qu'il allait "préserver" sa musique "comme je l'entends". "Le streaming ça craint. Le streaming c'est le pire son de l'histoire. Mais si vous en voulez, c'est disponible, ça ne va pas disparaître", s'insurge sur sa page Facebook le chanteur qui, à 69 ans, et est toujours très engagé. Toutefois, dimanche ses chansons restaient disponibles en streaming selon un rapide tour des sites les plus connus (Spotify, Apple Music ou autres).
Plagiat
Une Cour d'appel de Californie a réduit de 2 millions de dollars la pénalité de 7,4 millions de dollars à laquelle avaient été condamnées en mars les chanteurs vedette Robin Thicke et Pharrell Williams pour avoir plagié une chanson de Marvin Gaye. Le juge John Kronstadt a également statué que la moitié des droits d'auteur générés sur le titre "Blurred Lines" reviendrait désormais à la famille du légendaire musicien soul. Il a refusé la demande d'un nouveau procès présentée par Robin Thicke et Pharrell Williams et jugé que le rappeur Clifford "T.I." Harris Jr., crédité sur le titre, devrait tenir sa part de responsabilité dans la condamnation pour plagiat. Les labels de musique Universal, Interscope et Star Trak Entertainment doivent également être tenus responsables, a-t-il ajouté dans cet arrêt rendu en fin de semaine. En mars, un tribunal de Los Angeles avait estimé que Robin Thicke et Pharrell Williams avaient enfreint les droits d'auteur de Marvin Gaye pour son titre légendaire de 1977, "Got to give it up". Il avait accordé environ 4 millions de dollars de dommages et intérêts et quelque 3,4 millions de dollars au titre des revenus générés par "Blurred Lines", tube planétaire de l'été 2013.