L’artiste-peintre marocain Bouchaib Falaki expose ses œuvres jusqu’au 27 novembre 2009 à la galerie Sidi Belyout à Casablanca.
Dans ses tableaux, l’artiste relate la vie qui a marqué sa jeunesse à El Jadida, ville riche en couleurs et lumière. Il s’inspire de la culture marocaine qui renvoie à un certain Maroc des traditions, de sensibilité et spiritualité. Pour l’artiste peintre El Mallakh : « L’exposition est un retour à la mémoire, aux sources, à la vie simple de citoyen marocain. C’est un retour au Maroc des valeurs architecturales, culturelles, celui des coutumes et des traditions ».
Falki travaille sur le réalisme. Il est parmi les dix artistes peintres qui travaillent sur ce genre. Pourtant, le réalisme de Falaki est un réalisme-chimère qui s’inspire de sa propre expérience et son vécu pour exprimer la réalité. Une réalité obsédée par la lumière qui enchante et subjugue. « Falaki se focalise sur la lumière et l’éclairage comme technique. Elle constitue depuis longtemps une obsession pour lui. On peut dire qu’il maîtrise bien le sujet et la technique », affirme El Mallakh. Selon Falaki : « Dans cette exposition, je crois qu’il y a un effort au niveau de la technique par rapport à mes autres expositions ».
L’exposition comporte 49 tableaux de grands et moyens formats. C’est sa première exposition individuelle à la galerie Sidi Belyout, après quatre expositions collectives.
Dans ses tableaux, l’artiste relate la vie qui a marqué sa jeunesse à El Jadida, ville riche en couleurs et lumière. Il s’inspire de la culture marocaine qui renvoie à un certain Maroc des traditions, de sensibilité et spiritualité. Pour l’artiste peintre El Mallakh : « L’exposition est un retour à la mémoire, aux sources, à la vie simple de citoyen marocain. C’est un retour au Maroc des valeurs architecturales, culturelles, celui des coutumes et des traditions ».
Falki travaille sur le réalisme. Il est parmi les dix artistes peintres qui travaillent sur ce genre. Pourtant, le réalisme de Falaki est un réalisme-chimère qui s’inspire de sa propre expérience et son vécu pour exprimer la réalité. Une réalité obsédée par la lumière qui enchante et subjugue. « Falaki se focalise sur la lumière et l’éclairage comme technique. Elle constitue depuis longtemps une obsession pour lui. On peut dire qu’il maîtrise bien le sujet et la technique », affirme El Mallakh. Selon Falaki : « Dans cette exposition, je crois qu’il y a un effort au niveau de la technique par rapport à mes autres expositions ».
L’exposition comporte 49 tableaux de grands et moyens formats. C’est sa première exposition individuelle à la galerie Sidi Belyout, après quatre expositions collectives.
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