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Ces trafics de billets avaient été mis au jour par le journal britannique The Sunday Times mi-juin, qui avait transmis les résultats et les documents de son enquête à la commission d’éthique du CIO.
Cinq mois plus tard, celle-ci a rendu un rapport dans lequel elle vise plus particulièrement six personnes accusées de “n’avoir pas respecté le code de conduite du CIO”, voire d’”avoir terni la réputation du mouvement olympique”: le président du Comité olympique grec, Spyros Capralos, sa responsable du marketing, Nicole Avramidou, le secrétaire général du Comité lituanien Vytautas Zubernis, le président du Comité maltais Lino Farrugia et son secrétaire général, Joe Cassar, et le président du Comité serbe Djordje Visacki.
Mais celles-ci ne peuvent pas être sanctionnées par le CIO. “L’étendue de la compétence du code d’éthique du CIO permet au CIO de prendre des actions contre un comité national olympique en tant qu’organe, mais, pour des raisons légales, pas contre les personnes elles-mêmes”, a expliqué le président du CIO Jacques Rogge.
“Nous pensons que cela pourrait changer dans le code d’éthique, mais nous devons respecter les restrictions posées par les règles que nous avons fixées”, a ajouté le Belge.
Le CIO presse par conséquent les comités olympiques nationaux et les individus concernés “à prendre les actions appropriées”, sinon il se réserve la possibilité d’empêcher leurs accréditations pour les Jeux et autres événements olympiques.
Le CIO a déjà promis de revoir tout son système d’allocations de billets pour les Jeux de Rio de Janeiro en 2016 afin d’éviter d’autres situations du même genre qu’à Londres.