-
CAN 2025: Trosisème journée des qualifications
-
Le challenge de la cycliste maroco-italienne Latifa Benharara
-
Le Symposium international "Mouvement sportif: Equité, Egalité, Intégrité" à Fès
-
African Digital Summit 2024: Débat autour des stratégies de communication des leaders du marketing sportif
-
Coupe du monde de kitesurf à Dakhla: Kesiane Rodrigues s'adjuge le titre
Qui l'eût cru? Sans Motta ni Silva, Paris a triomphé de Catalans de Messi, Neymar et Suarez sans jus pour s'offrir une vraie chance d'accéder aux quarts pour la 5e fois de suite.
Et qui aurait imaginé un Angel Di Maria si étincelant? Sous le feu des critiques durant la première partie de saison, l'ailier argentin a signé une prestation majuscule, relevée de deux buts de classe: un coup franc direct (18) et un enroulé dans la lucarne (55).
La recrue hivernale Julian Draxler avait inscrit le but du 2-0 (40) d'un croisé du droit. Et Edinson Cavani, idéalement servi par Thomas Meunier, a fermé le ban à 4-0 (71). La peur a changé de camp: le Barça, qui a franchi les 8e sur les neuf dernières éditions, est condamné à l'exploit chez lui le 8 mars.
Seule ombre au tableau parisien, Marco Verratti, si indispensable au milieu, a quitté le terrain en boitillant en cours de match.
A Lisbonne, le Borussia Dortmund a vécu une soirée bien plus difficile: dominateurs, les Allemands ont raté un penalty par Pierre-Emerick Aubameyang et concédé un but qui les place dans une situation délicate au retour.
A la retombée d'un corner, le Grec Kostas Mitroglou a été le mieux placé pour tromper Roman Bürki (48). Les triples champions du Portugal en titre, quarts-de-finaliste la saison passée, ont montré une solidité défensive intéressante qui pourrait leur être utile dans l'enfer de la Ruhr.