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"La Premier League peut confirmer aujourd'hui que 748 joueurs et membres de l'encadrement ont été testés dimanche et lundi. Sur ces (échantillons), six se sont révélés positifs", a indiqué l'organisateur du Championnat d'Angleterre dans un communiqué.
Autre point important, ces six personnes infectées sont regroupées dans trois des vingt équipes de l'élite seulement, ce qui réduit a priori la propagation possible du coronavirus. La Premier League n'a pas révélé les clubs ou les personnes touchées, mais le club de Burnley a confirmé dans la soirée que son entraîneur adjoint Ian Woan avait été testé positif dimanche, sans présenter de symptômes du Covid-19.
"Ian va maintenant s'isoler pour une période de sept jours, et sera testé à nouveau la semaine du lundi 25 mai", selon le club.
"Les joueurs ou membres des staffs testés positifs vont maintenant s'auto-isoler pendant sept jours", conformément au protocole médical mis en place, promet la Premier League.
"C'est une proportion incroyablement basse", a immédiatement réagi sur Twitter John Cross, le chef du service football du quotidien The Mirror, avec un soulagement qui traduit bien les craintes existantes.
Avec 0,8% de cas positifs, la Premier League s'en sort honorablement face à l'Allemagne, par exemple, qui, avec 10 cas positifs sur 1.724 tests chez les 36 équipes de première et deuxième divisions, affichait 0,6% d'échantillons positifs.
Mais il faut prendre en compte que l'Allemagne fait partie des meilleurs élèves en matière de gestion de la pandémie en Europe, quand le Royaume-Uni affiche, lui, le deuxième pire bilan mondial au nombre de morts avec plus de 33.000 décès.
En outre, depuis l'interruption du championnat début mars, les journaux anglais se sont régulièrement délectés des frasques de joueurs qui, tout en appelant le public à respecter les mesures de distanciation sociale et à rester chez eux pour ménager les services de santé, n'en ont parfois fait qu'à leur tête.
Ces résultats, qui interviennent au lendemain du feu vert donné par les 20 clubs de l'élite anglaise à la reprise des entraînements par petits groupes et en continuant de respecter des précautions importantes, semblent donc une bonne nouvelle pour la Premier League.
Ils ne constituent en tout cas pas un revers dans l'optique du "Project Restart", le projet de reprise de la compétition pour disputer les 92 rencontres restantes de la saison.
Les clubs anglais sont actuellement en discussions poussées avec le gouvernement et les autorités sanitaires pour mettre au point le protocole qui permettrait de passer prochainement à des entraînements complets avec contacts.
Les premiers matches encore à jouer pourraient alors se tenir dans la seconde moitié de juin et le rideau pourrait tomber fin juillet ou tout début août sur l'exercice en cours.
Pour cela, il faudra cependant une exécution presque sans faille et qu'aucune mauvaise surprise ne vienne faire dérailler ce plan, car les craintes restent vives y compris chez certains joueurs.
L'attaquant et capitaine de Watford, Troy Deeney, a ainsi annoncé mardi qu'il avait refusé de retourner s'entraîner avec son club.
"Mon fils a 5 mois et il a des difficultés respiratoires. Je ne veux pas le mettre en danger", a expliqué le joueur.
"On va être testés et on sera dans un environnement très sûr, mais il suffit d'une seule personne (contaminée) dans le groupe. Je ne veux pas ramener ça à la maison", a-t-il argumenté.
L'appel de Manchester City étudié du 8 au 10 juin par le TAS L'appel de Manchester City, qui conteste son exclusion pour deux ans des Coupes d'Europe de football pour avoir enfreint les règles du fair-play financier, sera étudié du 8 au 10 juin par le Tribunal arbitral du sport, a indiqué le TAS mardi. Le TAS, qui siège à Lausanne, avait confirmé fin février avoir enregistré le recours du club anglais. L'appel de "City" est dirigé contre la décision de la chambre de jugement de la Commission de contrôle financier des clubs (ICFC) du 14 février 2020. Par cette décision, le gendarme financier de l'UEFA avait décidé d'exclure le champion d'Angleterre en titre pour les deux prochaines saisons de Coupes d'Europe, assortissant sa sanction d'une amende de 30 millions d'euros. Interrogé par l'AFP, le TAS "ne sait pas encore" si l'audience se tiendra par vidéoconférence ou en personne, ni dans quel lieu elle pourra se dérouler si c'est une audience en personne. Manchester City est épinglé pour avoir surévalué les revenus issus des contrats de sponsoring, dans ses comptes portant sur la période 2012-2016. Les pertes financières encourues par une absence sur la scène européenne dépasseraient largement les 100 M EUR par an et ne seraient pas sans conséquences sur le train de vie du club, d'autant que la Ligue des champions fait office de grande vitrine d'exposition pour les propriétaires émiratis de ManCity.
Le TAS, qui siège à Lausanne, avait confirmé fin février avoir enregistré le recours du club anglais.
L'appel de "City" est dirigé contre la décision de la chambre de jugement de la Commission de contrôle financier des clubs (ICFC) du 14 février 2020.
Par cette décision, le gendarme financier de l'UEFA avait décidé d'exclure le champion d'Angleterre en titre pour les deux prochaines saisons de Coupes d'Europe, assortissant sa sanction d'une amende de 30 millions d'euros.
Interrogé par l'AFP, le TAS "ne sait pas encore" si l'audience se tiendra par vidéoconférence ou en personne, ni dans quel lieu elle pourra se dérouler si c'est une audience en personne.
Manchester City est épinglé pour avoir surévalué les revenus issus des contrats de sponsoring, dans ses comptes portant sur la période 2012-2016.
Les pertes financières encourues par une absence sur la scène européenne dépasseraient largement les 100 M EUR par an et ne seraient pas sans conséquences sur le train de vie du club, d'autant que la Ligue des champions fait office de grande vitrine d'exposition pour les propriétaires émiratis de ManCity.