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L’exposition, dont le vernissage a eu lieu mardi soir, met en relief l’ancrage de métiers traditionnels dans le temps, louant le rôle assumé par les personnes tentant de pérenniser les métiers d’antan assaillis par la modernité, mettant en valeur le travail de 10 professionnels s’y adonnant, indique un communiqué de l’entreprise culturelle Nobulo.
Le projet “Avant d’oublier” aspire connecter les nouvelles générations avec un passé qui s’estompe sous l’effet de l’industrialisation globale galopante et faire revivre cet héritage culturel sans égal légué à la postérité, à l’ancrer dans la mémoire collective, rendant hommage à une constellation d’artisans. Les œuvres exposées sont le fruit d’une étude de documentation réalisée par la commissaire de l’exposition Anna Dimitrova, le photographe espagnol Selector Marx portant sur 10 personnes exerçant les métiers d’autrefois, s’en faisant le porte-parole à travers leurs portraits, donnant un aperçu de leur parcours professionnel, autant de métiers faisant partie intégrante du patrimoine culturel immatériel tels l’horloger, le bouquiniste, le rameur, le relieur doreur, le boulanger traditionnel, le vendeur de charbon, le cordonnier, le cireur de chaussures, le tailleur et le confectionneur de nattes en jonc.
L’exposition ‘’Avant d’oublier’’ fait escale à Rabat, première étape, avant de voguer vers d’autres horizons. Ce projet est organisé avec l’appui du ministère de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire, de la Maison de l’artisan, de la Fondation nationale des musées du Royaume du Maroc (FNM) et de l’ambassade d’Espagne au Maroc.