De l’impunité au provisoire
Chassez le provisoire, il revient au galop ! Décidemment, de bévue en bévue et d’intervention en intervention, ce bon vieux Chabab est encore victime de l’intervention des autorités et de l’atteinte à la légitimité et à la démocratie, ainsi que celle des politiques qui veulent faire du sport à Khénifra leur cheval de bataille pour 2012. Avec une gestion des plus catastrophiques, le CAK retourne logiquement dans la division des amateurs après un bref passage en seconde division et retrouve encore une fois l’anarchie du provisoire qui généralement perdure à Khénifra. Installés abusivement par les autorités locales, le président et son staff ont fait couler la barque, ce qui a contraint l’assemblée générale du 15 juillet et le conseil des adhérents à rejeter le rapport moral et financier.
Les adhérents avaient réclamé un audit pour voir plus clair avant d’élire un nouveau bureau. Un rendez-vous donc est donné pour le 22 du même mois pour décider du sort des rapports moral et financier. C’était une occasion pour ceux qui tirent les ficelles de trouver une sortie pour le président et son équipe. Le dessein étant de ne pas présenter des comptes et d’échapper ainsi à l’audit qui, normalement, devrait renvoyer le dossier devant la justice.
A Khénifra, l’impunité est de rigueur ! On peut détourner ou dilapider les deniers publics ou associatifs et bénéficier de l’impunité grâce aux responsables qui sont censés protéger l’argent des contribuables. Mais on ne peut être juge et partie à la fois. Une opération comme celles d’Al Hoceima et Tétouan semble nécessaire dans la capitale des Zayanes. Et comme à l’accoutumée, pour étouffer ce scandale, on a fait appel au provisoire. L’issue magique pour sauver les protégés comme ce fut le cas à plusieurs reprises dans la vie du club khénifri.
Lors de cette deuxième phase de l’AG qualifiée d’extraordinaire, le scénario préparé lors de la trêve entre certains élus et les autorités a été appliqué à la lettre en vue d’installer une commission provisoire et partant de sauver l’équipe sortante. Il ne faut pas oublier également la complicité entre le représentant de la Ligue et les autorités sportives du ministère de la Jeunesse et des Sports qui se sont distingués par leur léthargie totale lors des deux phases de cette fameuse assemblée. Le tout était assaisonné d’objectifs à atteindre la saison prochaine et de discours creux qui ont conduit au naufrage du sport dans la ville qui dispose pourtant de potentialités humaines incontestables.
« On est devant une mission qui s’annonce difficile dans un contexte délicat. Nous devons sortir le CAK de cette situation. Nous devons voir le bout du tunnel en préparant les conditions d’un nouveau départ par le biais d’une nouvelle restructure et d’une nouvelle stratégie de travail impliquant tous les adhérents et tous les partenaires » a confié Brahim Ouaba nouveau président du comité provisoire, qui conduira le bateau du CAK la saison prochaine et ce dès la fin de cette fameuse assemblée générale.
Les adhérents avaient réclamé un audit pour voir plus clair avant d’élire un nouveau bureau. Un rendez-vous donc est donné pour le 22 du même mois pour décider du sort des rapports moral et financier. C’était une occasion pour ceux qui tirent les ficelles de trouver une sortie pour le président et son équipe. Le dessein étant de ne pas présenter des comptes et d’échapper ainsi à l’audit qui, normalement, devrait renvoyer le dossier devant la justice.
A Khénifra, l’impunité est de rigueur ! On peut détourner ou dilapider les deniers publics ou associatifs et bénéficier de l’impunité grâce aux responsables qui sont censés protéger l’argent des contribuables. Mais on ne peut être juge et partie à la fois. Une opération comme celles d’Al Hoceima et Tétouan semble nécessaire dans la capitale des Zayanes. Et comme à l’accoutumée, pour étouffer ce scandale, on a fait appel au provisoire. L’issue magique pour sauver les protégés comme ce fut le cas à plusieurs reprises dans la vie du club khénifri.
Lors de cette deuxième phase de l’AG qualifiée d’extraordinaire, le scénario préparé lors de la trêve entre certains élus et les autorités a été appliqué à la lettre en vue d’installer une commission provisoire et partant de sauver l’équipe sortante. Il ne faut pas oublier également la complicité entre le représentant de la Ligue et les autorités sportives du ministère de la Jeunesse et des Sports qui se sont distingués par leur léthargie totale lors des deux phases de cette fameuse assemblée. Le tout était assaisonné d’objectifs à atteindre la saison prochaine et de discours creux qui ont conduit au naufrage du sport dans la ville qui dispose pourtant de potentialités humaines incontestables.
« On est devant une mission qui s’annonce difficile dans un contexte délicat. Nous devons sortir le CAK de cette situation. Nous devons voir le bout du tunnel en préparant les conditions d’un nouveau départ par le biais d’une nouvelle restructure et d’une nouvelle stratégie de travail impliquant tous les adhérents et tous les partenaires » a confié Brahim Ouaba nouveau président du comité provisoire, qui conduira le bateau du CAK la saison prochaine et ce dès la fin de cette fameuse assemblée générale.
Remue-ménage au Raja
