L’entraîneur de l’Inter Milan, Jose Mourinho, tout juste sacré champion d’Italie pour la deuxième année consécutive avec le club lombard dimanche, a assuré qu’il était “très loin” d’être au Real Madrid, où l’annonce avec insistance la presse espagnole dès la saison prochaine.
“En ce moment, je ne suis pas égoïste au point de ne penser qu’à moi, a-t-il confié à Inter Channel, la chaîne TV du club, quelques minutes après le sacre des Nerazzurri à Sienne (Toscane, centre-ouest). Je pense seulement à l’Inter et à mes joueurs”, rapporte l’AFP.
“Après Madrid (où l’Inter disputera la finale de la Ligue des champions le 22 mai, NDLR), il y aura le temps d’être égoïste pour un, deux ou trois jours et de penser à ce qui me rendra le plus heureux d’un point de vue professionnel. Je verrais”.
“Mais maintenant, a-t-il insisté, je peux dire à 100% que je n’ai pas déjà un pied à Madrid. Au contraire, je suis très loin d’être l’entraîneur du Real”.
“Mou”, qui était très ému au moment de la remise du trophée sur la pelouse du stade de Sienne, est sous contrat avec l’Inter jusqu’en 2012. Mais malgré le soutien indéfectible des joueurs, des dirigeants et des tifosi de l’Inter, il ne cesse de répéter qu’il ne se sent pas bien en Italie, ce qui laisse planer un gros doute sur sa permanence à la tête de l’équipe la saison prochaine.
“Special N.1”. “Au cours de la saison, il y a eu quelques moments où j’ai compris que ce pays n’était pas ma maison, que ce n’était pas le pays où j’étais heureux de travailler. J’ai ressenti cela plusieurs fois, et puis nous sommes entrés dans une période où je n’avais plus le temps de penser à rien, où je devais tout donner et c’est ce que j’ai fait”, a-t-il expliqué à ce propos dimanche.
“Mourinho a un contrat avec nous pour bien des années. On va voir ce qui va se passer”, a souligné de son côté le président du club Massimo Moratti, insistant: “Je voudrais qu’il reste avec nous pour toujours. Mais je ne sais pas”.
“C’est un homme formidable, un entraîneur gagnant qui se donne corps et âme à cette équipe”, a continué le dirigeant à propos du Portugais, tout en refusant de le comparer à Helenio Herrera, le plus grand entraîneur de l’histoire du club (vainqueur de la Ligue des champions en 1964 et 1965): “Jose n’aime pas les comparaisons. Disons que Herrera fut le N.1 et que +Mou+ est le +Special N.1+”.
“En ce moment, je ne suis pas égoïste au point de ne penser qu’à moi, a-t-il confié à Inter Channel, la chaîne TV du club, quelques minutes après le sacre des Nerazzurri à Sienne (Toscane, centre-ouest). Je pense seulement à l’Inter et à mes joueurs”, rapporte l’AFP.
“Après Madrid (où l’Inter disputera la finale de la Ligue des champions le 22 mai, NDLR), il y aura le temps d’être égoïste pour un, deux ou trois jours et de penser à ce qui me rendra le plus heureux d’un point de vue professionnel. Je verrais”.
“Mais maintenant, a-t-il insisté, je peux dire à 100% que je n’ai pas déjà un pied à Madrid. Au contraire, je suis très loin d’être l’entraîneur du Real”.
“Mou”, qui était très ému au moment de la remise du trophée sur la pelouse du stade de Sienne, est sous contrat avec l’Inter jusqu’en 2012. Mais malgré le soutien indéfectible des joueurs, des dirigeants et des tifosi de l’Inter, il ne cesse de répéter qu’il ne se sent pas bien en Italie, ce qui laisse planer un gros doute sur sa permanence à la tête de l’équipe la saison prochaine.
“Special N.1”. “Au cours de la saison, il y a eu quelques moments où j’ai compris que ce pays n’était pas ma maison, que ce n’était pas le pays où j’étais heureux de travailler. J’ai ressenti cela plusieurs fois, et puis nous sommes entrés dans une période où je n’avais plus le temps de penser à rien, où je devais tout donner et c’est ce que j’ai fait”, a-t-il expliqué à ce propos dimanche.
“Mourinho a un contrat avec nous pour bien des années. On va voir ce qui va se passer”, a souligné de son côté le président du club Massimo Moratti, insistant: “Je voudrais qu’il reste avec nous pour toujours. Mais je ne sais pas”.
“C’est un homme formidable, un entraîneur gagnant qui se donne corps et âme à cette équipe”, a continué le dirigeant à propos du Portugais, tout en refusant de le comparer à Helenio Herrera, le plus grand entraîneur de l’histoire du club (vainqueur de la Ligue des champions en 1964 et 1965): “Jose n’aime pas les comparaisons. Disons que Herrera fut le N.1 et que +Mou+ est le +Special N.1+”.
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