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«Je recommande au Conseil d'étendre d'un an le mandat de la MINURSO, jusqu'au 31 octobre 2019, afin de donner à mon émissaire l'espace et le temps nécessaires à la création de conditions permettant au processus politique d'avancer», a-t-il écrit dans ce document obtenu par l'AFP.
«J'exhorte les parties et les voisins à venir à la table de négociations de bonne foi», les 5 et 6 décembre en Suisse comme les y a invités fin septembre l'émissaire Horst Kohler, affirme-t-il aussi.
Le Maroc et le Polisario ont accepté (respectivement les 2 et 3 octobre) de participer à ces «discussions préliminaires», précise Antonio Guterres, en se disant confiant sur les réponses encore attendues de l'Algérie et de la Mauritanie, les deux autres invités à la «table ronde» organisée à Genève.
Le dernier cycle de négociations entre le Maroc et le Front Polisario remonte à 2012.
Dans son rapport, le chef de l'ONU note la disposition de l'Algérie et de la Mauritanie à «un rôle plus actif dans le processus de négociations» et un «signe encourageant» du Maroc.
La transmission de son document aux 15 membres du Conseil de sécurité survient alors que ces derniers tiendront en octobre trois réunions consacrées au Sahara, dont la dernière le 29 octobre pour renouveler le mandat de la MINURSO qui arrive à échéance.
«Maintenir des conditions pacifiques et stables sur le terrain est essentiel pour favoriser une reprise du processus politique», insiste le secrétaire général dans son rapport. «La MINURSO demeure un élément clé des Nations unies pour obtenir une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable», fait-il valoir.