-
Dans la Corne de l'Afrique, une dangereuse escalade entre Ethiopie et Somalie
-
Pékin "en alerte" après la traversée du détroit de Taïwan par un navire japonais
-
Les frappes israéliennes au Liban se poursuivent: Tel-Aviv rejette un appel international au cessez-le-feu
-
Nouvelles frappes israéliennes sur le Liban au lendemain d'une journée meurtrière
-
La France a "un des pires déficits de (son) histoire"
Le 16 février, deux Libanais, deux Syriens, un Grec, un Italien et un Britannique travaillant pour la société de construction libanaise Setraco avaient été enlevés sur un chantier, dans le nord du Nigeria.
Le ministère grec des Affaires étrangères estime que "le citoyen grec enlevé au Nigeria avec six autres ressortissants d'autres pays est mort" et a fait part de son "chagrin" à la mère de la victime, selon son communiqué.
Un employé de la société Setraco au Nigeria a dit attendre la confirmation de leur mort par le Nigeria. Mais, à Lagos, le colonel Yerima, porte-parole des armées, contacté par l'AFP, s'est refusé à tout commentaire, tandis que le porte-parole de la police, Frank Mba, a déclaré ne pas être en mesure de confirmer quoi que ce soit.
Une porte-parole du ministère britannique de la Défense a nié l'implication de la Grande-Bretagne dans une quelconque opération de libération des otages.
Ansaru est considéré comme une faction du groupe islamiste nigérian Boko Haram, tenu pour responsable de la mort de centaines de personnes dans des attaques menées depuis 2009 dans le nord et le centre du Nigeria.
Boko Haram a par ailleurs revendiqué, dans une vidéo postée sur internet le 25 février, l'enlèvement d'une famille de sept Français - dont quatre enfants - dans le nord du Cameroun.
Ansaru a été cité comme étant lié à plusieurs enlèvements dont ceux, en mai 2011, d'un Britannique et d'un Italien, tués en mars 2012 lors d'une opération des forces nigérianes appuyées par des agents britanniques visant à les libérer.