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Sahara marocain. Une diplomatie Royale agissante et proactive
Le but de la nouvelle alliance est «la consultation et la coordination sur les problèmes du continent africain pour des solutions pratiques et efficaces», prétend-on.
Ce nouveau groupe a convenu de tenir un sommet officiel plus tard, en vue d’établir une feuille de route pour les mois et les années à venir, selon un communiqué publié à l'issue de la réunion de son comité fondateur. Bien que le président mauritanien, Mohamed Ould Cheikh ElGhazwani, ait été présent à Bruxelles, la Mauritanie n’a pas voulu intégrer la nouvelle alliance.
A noter que l'Algérie n'a pas réussi ces dernières années à intégrer diverses alliances africaines, dont la dernière en date est le Groupe sahélo-saharien (G5), créé le 17 février 2014 dans le but de lutter contre le terrorisme et le crime organisé dans la région et comprenant la Mauritanie, le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad.
Quand bien même l'Algérie a demandé à être admise dans ce groupe, l'ancien président de la Mauritanie, Mohamed Ould Abdel Aziz,s’y était opposé, afin de préserver la position de neutralité de son pays quant au dossier du Sahara marocain et de ne pas permettre à l'Algérie d'utiliser cette alliance pour servir son propre agenda hostile au Maroc.
Ahmadou El-Katab