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En effet, les maîtres d’Al Mouradia savent pertinemment que toute ouverture, ne serait-ce qu’au niveau touristique, vaut certainement des pas en avant sur le plan politique. Et comme une chaîne dont les maillons appellent l’un l’autre, une ouverture appelle une autre, et la voix démocratique s’impose dès lors comme une obligation. La conséquence est sans doute négative pour les dépositaires du marché politique et économique ! C’est pour cela qu’ils préfèrent s’isoler et se barricader, privant un pays au potentiel touristique important de grandes retombées économiques. Le pire pour ceux qui détiennent les rênes du pouvoir au voisin de l’Est, c’est qu’à chaque fois, les conseillers leur évoquent l’exemple marocain, ce qui les agace davantage.
Le dernier des diplomates étrangers à leur avoir mis la puce à l’oreille était le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, qui a déclaré mercredi que l’Algérie dispose d’un énorme potentiel touristique, mais manque de volonté de s’ouvrir sur l’extérieur, tels que ses voisins tunisien et marocain.
Les médias belges qui ont repris ses propos, ont rapporté que Reynders avait affirmé, en marge d’une visite à Alger, que "l’Algérie possède un énorme potentiel touristique, mais il y a un sentiment d’absence de volonté de s’ouvrir au même titre que le Maroc et la Tunisie".
"Pour diversifier son économie, l’Algérie pourra mettre en valeur son potentiel touristique diversifié, mais nous avons l’impression qu’il n’y a pas de réelle volonté de s’ouvrir bien que ce pays soit extraordinaire", a estimé le chef de la diplomatie belge,
Et pour enfoncer le clou et mettre le doigt là où le bât blesse, le diplomate belge qui occupe également le poste de vice-Premier ministre, est allé frontalement contre les lois régissant les investissements étrangers en Algérie, notamment la règle 51-49, affirmant qu’en dépit du désir d’investir sur le marché algérien, il serait difficile de convaincre les sociétés belges d’y aller à cause de la règle qui constitue, à ses yeux, un sérieux obstacle. Ce n’est pas la première fois que les responsables algériens entendent un tel discours, mais la sourde oreille continue de régner en maître. Et sur les pas d’un certain Msahel, l’on continuerait toujours à répéter devant le peuple algérien désarmé que dans la zone d’Afrique du Nord, il n’y a que l’Algérie qui occupe une place de choix dans « Doing bisness » ! Alors Mr Msahel, faut-il qu’on vous répète, à chaque fois, la même leçon, dispensée à un cancre de la classe ?