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Inspiré d'un roman de Tamer Ibrahim, ce film "light" mais émouvant car plein d'émotions, de méditation, de recherche et de redécouverte de soi et d'amour, emmène le téléspectateur, le temps de la projection, à se demander sur l'essence de la vie, le partage de simples et vraies valeurs humaines, l'importance de goûter au bonheur de la vie.
Acteurs convaincants, mise en scène propre et humour gracieux, ce film a agréablement réussi à toucher et enchanter le public venu nombreux à la salle du cinéma "Avenida" pour savourer la prestation du grand comédien égyptien Ahmed Hilmi, qui a reçu un hommage particulier lors de la cérémonie d'ouverture de cette 19ème édition du FICM. Dans "Ala Jotati", on découvre Ahmed Hilmi incarnant subtilement le personnage de l'ingénieur "Raouf" qui plonge le téléspectateur, à la différence de la plupart de ses films comiques, dans un univers fantastique et inhabituel.
Plongé dans le coma, hanté par un flot accablant d'hallucinations et de mauvaises pensées sur ses amis et ses proches, y compris sa propre femme et son fils, l'ingénieur Raouf, propriétaire d'une société d'ameublements "Boconcep", en vient à croire que tout le monde le déteste et souhaite sa mort.
Dans son monde à part, il fait la rencontre de Noé, lui aussi au coma. En fantôme invisible, à l'instar de son ami Noé qui est le seul à pouvoir le voir, il se faufile loin de l'hôpital et se rend chez lui et à son lieu de travail, de sorte qu'il peut voir et entendre ce que disent sa femme et ses employés.