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Emprisonné pour une histoire de chèques non payés, la grande famille du football marocain, dans un élan de solidarité, est venue au secours du joueur en versant le montant dû aux créanciers qui avaient porté plaine contre lui.
Depuis le déclenchement de cette affaire en 2012, Aït Laârif s’est trouvé dans l’obligation de quitter le Maroc pour se rendre aux Emirats Arabes Unis. Fin avril 2017, il regagne le pays pour être auprès de sa mère gravement malade et sa famille, sachant d’avance qu’il sera écroué une fois arrivé à l’aéroport Mohammed V à Casablanca.
Libéré, Abdelhak Aït Laârif a tenu à remercier tous ceux qui l’ont soutenu dans cette affaire se disant convaincu d’avoir été victime d’une escroquerie.
Pour rappel, Aït Laârif avait porté les couleurs du WAC, du Raja et du WAF alors que sous d’autres cieux, il avait été sociétaire du CS Sfaxien de Tunisie, d’Al Ahly Djeddah d’Arabie Saoudite, d’Al Gharrafa du Qatar et d’Ajman Club des Emirats Arabes Unis.
Milieu de terrain doté d’une technique remarquable, Aït Laârif n’a pas eu une grande carrière internationale avec les équipes nationales. Toutefois, il est en droit de se targuer de son palmarès au niveau des clubs avec pas moins de trois titres avec le Wydad : Coupe du Trône en 2001, Coupe d’Afrique des vainqueurs de coupes en 2002 et Championnat du Maroc en 2010. Au Qatar, il avait été sacré avec Al Gharrafa en 2008.