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Tel Don Quichotte, il avait fait vœu de décrire la triste réalité de ces lieux dans toute sa complexité. Jusqu’au dernier souffle, jusqu’à l’ultime soupir, il avait cru dans les principes qui fondent le travail de ces soutiers de l’histoire que nous sommes, ou du moins que certains journalistes le deviennent par leur militantisme constant et inlassable. Driss Ouchagour en faisait partie. Quelques heures avant d’être à l’article de sa mort, il rédigeait encore ceux qui devaient paraître dans notre édition de demain. Nous vous les soumettons à titre posthume et en guise d’hommage à cet homme qui nous a quittés subrepticement aujourd'hui sans qu’aucun signe annonciateur de son rappel à Dieu ne parvienne à sa famille ou à ses proches. Malade, il ne l’était point et, c’est dans les bras de Morphée, qu’il fut happé par la mort. Brusque, aveugle et impitoyable, elle l’a fauché dans la force de l’âge, laissant derrière lui une famille éplorée et des confrères qui garderont son souvenir à jamais.
Condoléances
Nous avons appris avec affliction le décès de notre collaborateur Driss Ouchagour survenu mercredi soir.
En cette douloureuse circonstance, la direction, la rédaction et le personnel technique et administratif de Libération présentent leurs condoléances les plus attristées à son épouse Nadia Bouhanou, à son fils Walid, à ses frères Ahmed, Hassan, Hafid, M’hamed, Abdellah et Mohamed, à ses sœurs Hajja Khadija et Hajja Fatima, ainsi qu’à l’ensemble des membres de la famille éplorée.
Puisse Dieu avoir le défunt en sa Sainte Miséricorde.
Nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.