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Un coup dur pour les Rajaouis qui, faut-il le rappeler, n’arrange ni les partisans d’Abdellah Ghalam ni ses détrateurs. En quittant la présidence du Raja, il a mis les Rajaouis devant le fait accompli.
Appelé à la rescousse il y a deux saisons, Ghalam a tenu bon, ne se souciant point de la guerre des clans de « l’opposition ». Une intransigeance qui avait débouché sur le résultat escompté par la famille rajaouie : le titre de champion du Maroc.
Sauf que cette consécration n’est qu’un premier cap de franchi. Et l’important reste à venir du fait que le club doit défendre son titre et surtout réussir son parcours la saison prochaine en Ligue africaine des clubs champions.
La barre est placée haut pour le successeur d’Abdellah Ghalam. La personne qui prendra les commandes dans la maison des Verts n’aura donc pas la tâche facile, en héritant d’un club champion, devant jouer dans un tableau continental réservé aux gros calibres du football africain. Selon notre source, deux solutions s’offrent pour le nouveau président : soit jouer carte sur table et faire savoir d’entrée, à toutes les composantes rajaouies qu’il sera difficile de s’illustrer sur la scène africaine ; soit mettre le paquet pour s’attacher les services de joueurs de talent et d’expérience. Pour ce faire, toujours d’après notre source, le Raja doit casquer 10 millions de dirhams pour renforcer son effectif. Ce qui n’est pas évident.