La Villa des arts de Rabat ouvre ses espaces d’exposition, du 5 juillet au 30 août prochain, à trois artistes : Abdelkader Laâraj, Mohammed Qannibou et Mostafa Elarche. Tous intrigués par des corps, tantôt bavards et bruyants ; ces corps qui s’agitent, dansent, méditent, discutent, rient, pleurent.
Ensemble réunies, les œuvres de Abdelkader Laâraj, Mostafa Elarche et de Mohammed Qannibou transportent le visiteur dans un environnement étrange, nouveau et à nul autre pareil.
Chacune de ces créatures vives et vivantes racontent l’histoire de sa vie et vous invitent à la partager, ne serait-ce qu’un court instant. Le désir de vous immiscer dans la conversation des personnages de Mohammed Qannibou ou de défier leurs regards perçants vous surprendra.
Vous entrerez alors dans le monde chaotique d’Abdelkader Laâraj. Ces créatures sont en mouvement. Elles planent, tournoient, envahissent et illuminent l’espace tel un feu d’artifices. Elles vous donnent le tournis, elles sont comme projetées dans un lieu indéfini, étrange… un autre monde.
Floué par les couleurs tendres de Mostafa El Arche, c’est un monde plein de mystère qui vous attend. Est-ce là une créature maitresse, dominante repliée sur elle-même ignorant les «petits» autres?
Et le dialogue s’installe entre vous et ces trois artistes talentueux!
Ensemble réunies, les œuvres de Abdelkader Laâraj, Mostafa Elarche et de Mohammed Qannibou transportent le visiteur dans un environnement étrange, nouveau et à nul autre pareil.
Chacune de ces créatures vives et vivantes racontent l’histoire de sa vie et vous invitent à la partager, ne serait-ce qu’un court instant. Le désir de vous immiscer dans la conversation des personnages de Mohammed Qannibou ou de défier leurs regards perçants vous surprendra.
Vous entrerez alors dans le monde chaotique d’Abdelkader Laâraj. Ces créatures sont en mouvement. Elles planent, tournoient, envahissent et illuminent l’espace tel un feu d’artifices. Elles vous donnent le tournis, elles sont comme projetées dans un lieu indéfini, étrange… un autre monde.
Floué par les couleurs tendres de Mostafa El Arche, c’est un monde plein de mystère qui vous attend. Est-ce là une créature maitresse, dominante repliée sur elle-même ignorant les «petits» autres?
Et le dialogue s’installe entre vous et ces trois artistes talentueux!
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