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Dès lors on accepte le fait que les gouvernants lâchent les malades, sans se soucier de leur sécurité ni de leurs droits ! Lesquels êtres affaiblis et sans défense, des électeurs exclus à deux pas de l’anéantissement, sont pris dans le jeu et les rets des multinationales, sans protecteurs ! A quelle sauce criminelle, serons-nous apprêtés pour ces loups affamés ? Ces lobbies financiers, qui jouxtent et fricotent avec les malfrats, qui ont causé le clash mondial actuel !
Les malades ne seraient plus des personnes dignes d’intérêt, mais de simples consommateurs. Pire, des choses ou des meubles, pas plus différents que la chair à canon. Faute d’être anéantis par les armes, les malades servent d’alibis, d’adresse et de motifs, pour pomper la Sécu !
Les moins que rien, les anonymes de par le monde, n’ont pas d’organismes transnationaux, pour assurer leur défense ni leur protection face aux appétits féroces et à l’irresponsabilité narquoise des multinationales ! Ces super labos de la chimie, des lobbies en soi, qui font et défont les gouvernements dans les pays démocratiques les plus avancés. Nous, les associations, les médecins et les malades, résidant dans les pays du tiers-monde, on se casse ! Car, ce ne sont pas des dossiers accessibles à nos moyens ni à nos méninges. Nos dirigeants n’ont pas l’heur non plus, ni les opportunités géographiques, administratives ou politiques pour gérer ou contrer ces outrances antisociales et ‘’ dés-humanitaires’’ !
Je crois que pour ce genre de situations, et pour la défense des malades, à travers le monde, il faut comprendre et enseigner qu’il y a un engagement moral. Un civisme universel. Un pacte qu’il faut dûment réglementer pour l’imposer aux laboratoires.
Ce doit être le genre de dossier à impulser, pour être traité au niveau du G20, faute d’être piloté énergiquement par l’OMS.
Libre à ces meneurs et pilotes du monde d’établir et de faire respecter une clause obligatoire. Une loi internationale qui dans les situations pareilles à cette carence du Mytélase, obligerait les labos à pourvoir les drogues incontournables. Spécialement celles dont ils ont le monopole, sans causer de ruptures et sans contraintes ni autres formes de défaillances ou de chantages. Aux labos de supporter les frais des variations auxquelles ils pourraient être accidentellement astreints.
* Président de l’Association des amis des myasthéniques du Maroc