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Le conseil de la ville, qui a inverti énormément depuis septembre 2003 pour l’aménagement des fontaines (une affaire juteuse, vous l’aurez deviné) a oublié ses promesses d’offrir aux habitants des plages adaptées à la géographie locale.
Des promesses qui ont rempli en leur temps les pages de plusieurs journaux qui tenaient à prendre le maire de Fès au mot. Les plages côté oued Fès ont peut-être cédé la place à des projets autrement plus sérieux, allusion faite au futur de cette zone de la ville dont MEDZ veut faire un «paradis» touristique et environnemental générateur d’emplois.
Pour faire face à la vague de chaleur annoncée en début de semaine par le service météo et qui frôle les 40°, une canicule qui a vidé avenues et artères de leurs passants ou des promeneurs, où peut-on trouver une piscine pour les jeunes de condition modeste pour leur permettre un peu de fraîcheur et s’adonner aux plaisirs de la natation?
Faute de cet espace de loisirs, les enfants démunis recourent aux nombreuses fontaines publiques (piscines ou plages d’un autre genre) qui ont été malheureusement «vidées» pour préserver les sources d’eau. Des mesures pareilles ont l’air du déjà-vu avec la fermeture définitive de certaines piscines communales. S’adresser ailleurs n’est pas à leur portée surtout quand il s’agit des endroits (hôtels, clubs…) réservés à l’élite ou aux personnes qui ont les moyens de débourser un minimum de 250 DH par jour.
Ce problème interpelle les futurs conseils appelés à gérer la chose publique, notamment au niveau des loisirs.