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Matt Damon sonne l'alarme contre la déforestation et s'engage contre la pollution de l'eau tout comme Mark Ruffalo, Robert Redford milite contre les centrales au charbon, Harrison Ford défend la biodiversité... Daryl Hannah, la sirène de "Splash", a créé un blog pour promouvoir un mode de vie protégeant l'environnement, rapporte l’AFP.
Ces stars qui fréquentent les plus grands de ce monde n'hésitent pas à interpeller directement les décideurs politiques. Morgan Freeman, Susan Sarandon, Alec Baldwin, entre autres, ont récemment pris la plume pour écrire au président Barack Obama, l'enjoignant de prendre la tête d'une "révolution des énergies propres".
Arnold Schwarzenegger alias Terminator, a quant à lui pris les choses en main personnellement lorsqu'il était gouverneur de Californie, en sponsorisant des lois alors très en avance sur le reste du monde pour contraindre notamment les voitures à moins polluer. Mais la figure de proue de la lutte environnementale à Hollywood n'est autre que l'une de ses plus brillantes étoiles: Leonardo di Caprio, nommé messager de la paix de l'ONU en 2014.
A la tribune de l'ONU, il a martelé que le changement climatique n'était pas "une hystérie, c'est un fait. Ce n'est pas un problème partisan, c'est un débat humain et notre obligation morale".
Le charismatique acteur, qui assistera à la conférence sur le climat (COP21) à Paris, a créé une fondation à son nom qui travaille sur des dizaines de projets, notamment la protection des océans.
Grâce à sa notoriété, l'interprète de "Titanic" ou du "Loup de Wall Street" est capable de lever pas moins de 40 millions de dollars sur un seul événement. Le documentaire qu'il a écrit, joué et produit, "La 11e heure, le dernier virage" (2007), dénonce la pollution de la planète et promeut les solutions proposées par les scientifiques.
Cette mobilisation des stars sert-elle à quelque chose ? Pour Jon Christensen, elle est d'autant plus efficace qu'elle permet aux gens de s'"identifier et leur montre des manières positives de participer".