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«Ce programme vise à rationaliser et développer les plantes aromatiques et médicinales (PAM) de façon à garantir leur développement et contribuer à répartir les bénéfices aux populations locales. Il ambitionne d’œuvrer d’une part pour la conservation et la valorisation de la biodiversité dans la chaîne de valeur PAM, et d’autre part pour la lutte contre la pauvreté», a précisé Bruno Buezat, représentant résidant de la PNUD au Maroc.
Selon lui, ce projet s’inscrit dans le programme mondial intitulé : «Intégration de la biodiversité dans les chaînes de valeur des plantes aromatiques et médicinales méditerranéennes au Maroc » dont le montant global est estimé à 4 millions de dollars dont 200.000 DH alloués par le PNUD et 900.000 DH par le Fonds mondial de l’environnement. Le Haut commissariat des eaux et forêts et le Crédit agricole Maroc font également partie des contributeurs.
Le projet comporte trois composantes. La première relève des services liés à la chaîne de valeur des PAM, notamment la communication et le marketing, offrant ainsi un «guichet unique» pour les informations destinées aux parties prenantes. La seconde composante est axée sur la conservation de la biodiversité avec notamment l’initiation et la finalisation du processus de certification Fair Wild pour quatre espèces endémiques de grande importance écologique et commerciale, à savoir le romarin, le thym, l’origan et le pyrèthre. Quant à la troisième et dernière composante, elle s’articule autour du renforcement des capacités sur deux volets. Le premier étant destiné aux partenaires et comprend des formations liées aux services rendus aux chaînes de valeur en particulier en matière de communication et de marketing. Quant au deuxième volet, il vise la formation en certification Fair Wild et s’adresse aux coopératives.