Cet événement de trois jours, organisé en partenariat avec l'Association des Loteries d’Afrique (ALA), a consacré l’expérience positive de l’année précédente, en rassemblant des chevaux et des jockeys de premier plan.
Cette manifestation hippique a été l'occasion pour la SOREC d'accueillir plusieurs délégations du continent avec pour objectif de mettre en lumière l'expertise africaine dans le domaine des courses et des jeux, et de promouvoir des pratiques ludiques attractives et responsables sur le continent.
Après le "succès retentissant" de cet évènement en 2023, cette 3ème édition "a répondu aux attentes en termes de participation et de satisfaction, tant des jockeys que du public, tout en suscitant de fortes émotions", s'est réjoui Omar Skalli, directeur général de la SOREC, lors de la cérémonie de remise des prix.
M. Skalli a également souligné que l'édition 2024 renforcera indéniablement la visibilité internationale de la filière des courses de chevaux en Afrique, faisant part de la détermination de la SOREC à accompagner le développement de ce secteur sur le continent.
Pour sa part, Abdelkader Al Kandoussi, qui a reporté le prix PMU (Pari mutuel urbain), s'est dit fier de cette victoire, "fruit d'un travail collectif et d'une passion partagée pour ce sport".
"Je tiens à remercier la SOREC et tous les organisateurs pour leur engagement en faveur du rayonnement des courses de chevaux en Afrique", a-t-il dit.
Durant cette dernière journée, plusieurs compétitions se sont déroulées, incluant le Prix SOREC, le Prix PMU, le Prix Marrakech, le Prix de la Fraternité africaine, le Prix de l'ALA, le Prix Palmeraie, le Grand Prix d'Afrique et le Prix Ecole des Jockeys.
A noter que cette édition 2024 a connu un nouveau format, avec un forum destiné aux experts africains pour aborder la régulation des jeux, notamment les aspects sécuritaires, juridiques et fiscaux.
Poursuivant l’ambition de positionner la filière équine en tant que moteur de développement en milieu rural, la SOREC oriente son action sur la valorisation des races et sur les monétisations des utilisations du cheval afin d'accompagner l'émergence d’écosystèmes économiquement viables et financièrement indépendants.