-
Journée arabe de lutte contre l’analphabétisme : Un appel renouvelé à l'action pour éradiquer un frein majeur au développement
-
Rougeole : 41 cas d’infection recensés dans certains établissements pénitentiaires
-
Premier Congrès africain de pédiatrie à Casablanca
-
Le Maroc plaide pour renforcer l’usage de l'IA dans l'enseignement
-
L'ouverture du SGG sur l'université à même de renforcer la connaissance du système juridique national
Le traitement des maladies rénales représente une des dépenses les plus importantes pour les organismes de couverture et pour le ministère de la Santé. Seules 26 % sont couvertes par l’AMO. On prévoit d’ailleurs une augmentation rapide de ces dépenses vu que la population a tendance à vieillir et que le diabète et l’hypertension artérielle touchent de plus en plus de personnes. La précarité et la faiblesse des moyens financiers y sont également pour beaucoup.
Il est essentiel d’oeuvrer pour que la prise de tension artérielle et la recherche de protéines dans les urines fassent partie de tout examen médical. Il est aussi important de sensibiliser les autorités de la santé publique à encourager des initiatives pour réduire le risque de développement de l'hypertension telle la réduction de la consommation du sel.
A travers le monde, la fréquence des maladies rénales chroniques est en constante augmentation, le rôle de l’information du public et la sensibilisation de la communauté médicale et des gouvernements n'ont jamais été aussi importants. D’ailleurs les statistiques montrent que moins de 30% des personnes atteintes de maladies rénales chroniques en sont informées. La prévention est de rigueur.