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En marge du festival, nous avons rencontré le réalisateur marocain du premier film au box-office « Derrière les portes fermées» traitant du harcèlement sexuel, Mohamed Ahed Bensouda qui nous a donné ses impressions sur cette cinquième édition
Libé: Est-ce la première fois que vous participez à ce festival ?
Mohamed Ahed Bensouda: Non, c’est la troisième fois que je participe à ce festival de Dakhla. Déjà, en 2010, j’avais présenté mon premier film « L’histoire d’un lutin M’Chaouchi». Là, c’est la deuxième fois et je suis très content d’être ici.
Quelles sont vos impressions sur cette édition ?
Je pense qu’elle sera très réussie, vu la variété des participants et la diversité des films, le grand nombre de médias assurant la couverture. Ce festival intervient à un moment très particulier parce qu’il y a un changement du cinéma au Maroc, notamment au niveau de la direction du CCM où un nouveau directeur général vient d’être nommé. Le festival survient donc dans le contexte de ce qui sera la stratégie qu’adoptera le Maroc pour le futur du cinéma qui consiste, entre autres, à développer tout ce qui est production, salles de projection, etc...
Donc, le festival a, selon vous, progressé ?
Oui, il a progressé et progressera encore. Nous nous trouvons dans un lieu magique où tout se construit à grande vitesse. Cette magnifique salle n’existait pas. Le palais où elle se trouve n’existait pas, non plus. Par conséquent, je pense que s’il continue sur sa lancée, ce festival sera parmi les meilleurs au Maroc.