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Il s'agit d'un thriller qui réunit tous les ingrédients de ce genre cinématographique : amour, crimes, homicides et plans terroristes. Le scénario est inspiré de deux faits divers réels : Le premier est celui de l'affaire du suicide d'Amina Filali, jeune fille de 16 ans, battue, violée et obligée d'épouser son violeur pour lui permettre d'échapper à la prison, qui met fin à ses jours, ne supportant plus les violences physiques et sexuelles que son mari continue à lui faire subir.
L'autre fait divers est celui d'une jeune fille qui se venge d'une manière brutale de plusieurs hommes qui lui ont fait subir des viols collectifs, explique Abdelkrim Derkaoui, dans une déclaration à la MAP.
Le mélodrame raconte l'histoire de Bouchra, infirmière qui sauve par un hasard du destin, la vie de l'inspecteur de police Karim, qui s’emploie avec sa brigade au démantèlement d'une cellule terroriste. Leur relation évolue avant de se terminer par un dénouement heureux.
Parallèlement, le commissaire Trabelsi, collègue de Karim, enquête sur une série de meurtres commis d'une façon étrange et qui s'avère être la conséquence d'une vengeance suite à une justice non rendue.
Le scénario du film ''Les griffes du passé'' a été écrit par le scénariste marocain Taoufik Benjelloun.
Les rôles sont campés par une pléiade d'artistes vétérans et de jeunes talents tels Narjiss El Hallak, Ayoub Layoussifi, Ahmed Saguia, Tarik Bakhari, Bouchra khalid, Abdelhak Zerouali, Mouhcine Malzi, Abdellatif Chagra, Karim Doniazale, Noureddine Bikr, Abdelghani Sennak, Majid lakroune, Amine Benjellloun, Aicha Mahmah.
Il est, par ailleurs, à rappeler que le projet du film ''Les griffes du passé'' a bénéficié d'une subvention de trois millions de dirhams accordée par le Centre cinématographique marocain (CCM) au titre de l'année 2013. Ce montant n’a pas suffi pour le financement du film dont le budget total se situe aux alentours de 5 millions de dirhams, précise le réalisateur Abdelkrim Derkaoui qui a choisi Casablanca comme lieu de tournage.