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Le long métrage marocain "Les Testaments" de Sanae Akroud a été projeté, dimanche soir, au cinéma "Rainbow" à Amman, dans le cadre de la 13e édition du Festival du film des femmes, organisée par ONU Femmes du 10 au 15 avril courant dans la capitale de la Jordanie.
Ce film, qui met en scène un casting composé de Sanaa Akroud, Youssef El Arabi, Khadija Adli, Nasser Akabab, Abderrahim Tmimi et Younes Chakkour, aborde les souffrances des mères dans leur combat pour obtenir le droit de garde de leurs enfants après le divorce, avec un focus sur les problématiques juridiques, sociales et culturelles, ainsi que les répercussions psychologiques sur ces mères et sur la stabilité de la famille. Le long métrage retrace ainsi le parcours de "Daouia", une femme confrontée à un combat judiciaire pour conserver la garde de sa fille.
Dans une allocution de circonstance, la vice-représentante d'ONU Femmes en Jordanie, Manal Benkirane, a salué la richesse des expériences cinématographiques féminines proposées dans le cadre de cette édition, tant au niveau de l’esthétique de l’image qu’au niveau du langage cinématographique, exprimant sa fierté et sa joie de la projection du film "Les Testaments", qui lui rappelle son identité marocaine et son amour pour l’art marocain.
La projection de ce film, soutenu par le ministère de la Justice, le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, s'est distinguée par la présence d'un public arabe et étranger diversifié, en tête duquel plusieurs membres de la communauté marocaine établie en Jordanie, ce qui a conféré à la rencontre une touche humanitaire et artistique marocaine remarquable.
Le programme du Festival, organisé en partenariat avec la Commission royale jordanienne du film, prévoit la projection de 14 films arabes et étrangers, dont "Arzé" (Liban, Arabie Saoudite et Egypte), "Samia" (Somalie), "Le Mariage de Rosa" (Espagne), "Sukoon" (Jordanie, Egypte et Palestine), "Les Testaments" (Maroc) et "42.195" (Mexique).
Les films en lice lors de cette édition mettent en lumière la réalité des femmes à travers le monde par le biais de thèmes à caractère social, politique et psychologique, selon des styles narratifs diversifiés et différentes perspectives humaines.
La 13e édition du Festival s’ouvre sur des expériences féminines d'horizons multiples et des problématiques diverses, telles que l’identité, l’indépendance et les conflits avec la société et les traditions, ainsi que les questions d’autonomisation, de discrimination et les défis personnels et professionnels.
Au menu de cette édition figurent également des tables rondes qui traitent d’importantes questions liées au domaine du cinéma, notamment les défis se dressant devant les femmes dans l'industrie cinématographique, l’image de la femme dans les médias, outre les moyens de surmonter les obstacles entravant la participation active des femmes dans ce secteur.
Ce film, qui met en scène un casting composé de Sanaa Akroud, Youssef El Arabi, Khadija Adli, Nasser Akabab, Abderrahim Tmimi et Younes Chakkour, aborde les souffrances des mères dans leur combat pour obtenir le droit de garde de leurs enfants après le divorce, avec un focus sur les problématiques juridiques, sociales et culturelles, ainsi que les répercussions psychologiques sur ces mères et sur la stabilité de la famille. Le long métrage retrace ainsi le parcours de "Daouia", une femme confrontée à un combat judiciaire pour conserver la garde de sa fille.
Dans une allocution de circonstance, la vice-représentante d'ONU Femmes en Jordanie, Manal Benkirane, a salué la richesse des expériences cinématographiques féminines proposées dans le cadre de cette édition, tant au niveau de l’esthétique de l’image qu’au niveau du langage cinématographique, exprimant sa fierté et sa joie de la projection du film "Les Testaments", qui lui rappelle son identité marocaine et son amour pour l’art marocain.
La projection de ce film, soutenu par le ministère de la Justice, le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, s'est distinguée par la présence d'un public arabe et étranger diversifié, en tête duquel plusieurs membres de la communauté marocaine établie en Jordanie, ce qui a conféré à la rencontre une touche humanitaire et artistique marocaine remarquable.
Le programme du Festival, organisé en partenariat avec la Commission royale jordanienne du film, prévoit la projection de 14 films arabes et étrangers, dont "Arzé" (Liban, Arabie Saoudite et Egypte), "Samia" (Somalie), "Le Mariage de Rosa" (Espagne), "Sukoon" (Jordanie, Egypte et Palestine), "Les Testaments" (Maroc) et "42.195" (Mexique).
Les films en lice lors de cette édition mettent en lumière la réalité des femmes à travers le monde par le biais de thèmes à caractère social, politique et psychologique, selon des styles narratifs diversifiés et différentes perspectives humaines.
La 13e édition du Festival s’ouvre sur des expériences féminines d'horizons multiples et des problématiques diverses, telles que l’identité, l’indépendance et les conflits avec la société et les traditions, ainsi que les questions d’autonomisation, de discrimination et les défis personnels et professionnels.
Au menu de cette édition figurent également des tables rondes qui traitent d’importantes questions liées au domaine du cinéma, notamment les défis se dressant devant les femmes dans l'industrie cinématographique, l’image de la femme dans les médias, outre les moyens de surmonter les obstacles entravant la participation active des femmes dans ce secteur.