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D’une valeur de 40 euros, cette boîte met en scène deux personnages dans une banque et l’un d’eux est masqué et porte une arme à la main. C’est cette dernière figurine qui a créé la polémique outre-Manche, notamment pour l’image donnée aux enfants de bas-âge et surtout pour la banalisation du cambriolage qui est renvoyée par la firme allemande Playmobil. "Nous ne voulons pas encourager les jeunes à la violence via ce type de jouet horrible" a déclaré au Daily Mail Danny Bryan, un militant anti-armes. De son côté, Playmobil affirme que ses boîtes de jeu ont simplement pour objectif d’encourager "les enfants à imaginer, inventer et créer".
Le plus spectaculaire reste tout de même les mises en scène photographiées pour promouvoir la boîte de jeu. En effet, sur cette dernière on peut nettement voir la figurine masquée, une femme portant un sac à main rouge, avec une barre de fer dedans et pointant une arme en direction de l’employé de banque. Ce dernier est en train de donner des liasses de billets à la cambrioleuse blonde et vêtue de noir.
Sur d’autres images de mise en scène, on peut voir la voleuse ouvrir un distributeur de billets à l’aide de sa barre de fer ou bien encore en train de braquer l’employé de banque avec son arme. La victime lève alors les mains en l’air après avoir pris le soin de déposer des liasses de billets ainsi que des lingots d’or aux pieds de l’agresseur.
Dédiée aux enfants âgés de quatre à dix ans, cette boîte de jeu Playmobil contient donc des lingots d’or, un sac pour que la cambrioleuse puisse y mettre l’argent dérobé, une arme à feu et une barre de fer pour casser le distributeur de billets.
Cette polémique n’est pas sans rappeler celle de la poupée espagnole qui avait fait grandement parler d’elle parce qu’elle allaitait ou bien encore cette poupée suédoise qui était handicapée