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Coup d’envoi du Festival international des nomades à M’Hamid El Ghizlane
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Enseignement de la langue amazighe : L'IRCAM organise une "résidence des créateurs éducatifs"
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Colloque international sur la "Linguistique, littérature et communication" à Al Hoceima
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L’ambiance solaire des «Journées culturelles marocaines» s’empare de l’emblématique Place Saint-Michel
Sur le ton de l’humour Chti, subtil mélange d’arabe et d’hébreu, Nicole Elgrissy Banon revient sur les non-dits de cette période dans le but de faire vivre au grand jour « la marocanité des juifs du Royaume» et pour rappeler à quel point l’identité peut parfois s’avérer problématique.? Ainsi, «La Renaicendre» résonne avant tout comme une ode au Royaume, décrit par l’auteur comme un « bel exemple de paix, de fraternité entre les ethnies, les religions et les hommes l est le message que semble vouloir nous transmettre Nicole Elgrissy Banon, en nous montrant à travers l’histoire de chacun de ses personnages que l’exil est bien souvent douloureux et difficile à vivre.
La cohabitation judéo-musulmane, la paix entre les peuples, la différence entre Sépharades et Ashkénazes, le rapport à la monarchie ; autant de problématiques évoquées par l’auteur afin de permettre aux lecteurs de se réapproprier enfin une partie de leur