Mieux (ou plutôt pire dans le cas en l’espèce), il y a une radio qui s'est permis "le luxe", bien après la clôture de cet événement et le succès enregistré, de souiller ses ondes, et par là les oreilles de ses auditeurs par une énorme stupidité en prétendant que cela s'est passé dans une totale indifférence. Si c'est le cas, pourquoi continuer à en parler si ce n'est pour diffamer à tout va. Luxe Radio doit cette énormité à sa chroniqueuse attitrée, Mélanie Freich-Cigli (excusez la prononciation) connue pour chercher à tout prix à se distinguer de l'avis de tous les autres, quitte à hurler à gorge déployée.
Les critiques quand elles sont bien fondées, quand elles ne sont pas intéressées ni ne sont la confirmation d'une incompétence insoutenable sont toujours les bienvenues.
Quel crédit peut-on bien, même avec toute la bonne volonté du monde, accorder aux balivernes de cette dame qui, pour une raison trop obscure, s'est comportée en vile mégère pour dénigrer notre confrère de la MAP qui, lui, n'avait d'autres soucis que de consacrer au Xème Congrès une couverture professionnelle, tout le contraire des détestables sautes d'humeur et interminables prises qui font la force de cette journaliste de dimanche.
Du confrère de la MAP, la Mélanie Freich-Cigli, sans scrupule, ne serait que professionnel, a osé dire que tout ce qui l'a intéressé dans ce Congrès, c'était le buffet où il n'a fait que boire et manger. C'en est trop madame ! Respectez les autres pour être vous-même digne de respect. Nous nous devrions de nous abstenir cependant de vous rappeler, à vous qui aimez tant vous ériger en donneuse de leçons, que l'époque des indigènes et les autres est révolue.
Mais il ne serait toutefois pas inutile de vous dire que ce que vous avez commis là relève du journalisme de bas étage, de caniveau, du journalisme à la Hanouna.
Vous ne devez pas être sans savoir que vos calomnies n'ont pas visé qu'un seul confrère, mais tous les autres qui s'étaient fait dignement accréditer et qui se sont acquittés de leur mission. Entre journaux et sites électroniques ou autres radios et télés, vous aviez l'embarras du choix. Mais quand on est ignorant... de la première langue du pays, on ne doit s'en prendre qu'à soi-même.
En voilà donc une radio qui aurait été tout autre si elle s’était appliquée à se faire une identité claire et sans équivoque. On aurait été tenté d’applaudir à entendre des intervenants officieux voire luxueusement officiels qui se plaisent à tirer à boulets rouges sur le «libéralisme sauvage»… Sauf qu’une fois l’émission-débat finie, place illico presto à une pub trop sauvagement libérale louant un luxe luxuriant. Cela ne relèverait-il pas de la pure et dure schizophrénie ?
Et pour une chute tout aussi professionnelle, rappelons à nos confrères que rapporter une rumeur non fondée, diffamatoire de surcroît tombe sous le coup de la loi.