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Pour cette édition, le Grand prix Ousmane Sembène a été attribué au film «Le Royaume des fourmis» de Chawki Mejri (Tunisie)
En marge de la clôture de cette édition, un hommage a été rendu au réalisateur et scénariste marocain, Hassan Benjelloun. Celui-ci a considéré que cet hommage reflète une reconnaissance de ses pairs marocains et africains, avec qui il partage «l’amour du septième art».
Dix-sept films étaient en lice pour le Grand prix du festival. Ils représentaient le Maroc, l’Egypte, la Tunisie, l’île Maurice, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, Madagascar, le Togo, le Nigeria, le Burkina Faso, l’Angola, la Tanzanie, le Mozambique, la Guinée Bissau et le Niger.
Comme chaque année, le palmarès 2013 a fait des heureux, mais aussi des déçus parmi les artistes, les producteurs et les réalisateurs participant à cette compétition.
Présidé par l’Ivoirien, Fadika Kramo Lanciné, directeur de l'Office national du cinéma, le jury comprend le cinéaste gabonais Paul Mouketa, le Béninois Dorothée Dognon et les Marocains Lahcen Zainoun, Hanane Fadili et Sanae Alaoui.
Le film primé raconte l’histoire de la Palestine d’aujourd'hui… Des bombardements quotidiens, des hélicoptères Apache et des blindés sèment la mort et la désolation. Les bulldozers rasent des maisons et des quartiers entiers.
Trois générations de Palestiniens luttent pour leur survie et celle de leurs rêves, chacune à sa manière et avec les armes généralement dérisoires qu'elles possèdent.
La génération des anciens qui sauvegarde la mémoire collective et essaie de protéger les plus jeunes
La génération des adultes est celle de la résistance sous toutes ses formes. Elle lutte pour vivre, aimer et procréer, préserver l'identité et la terre. Elle porte toutes sortes d'armes, y compris l'arme ultime, l'attentat-suicide…
La génération de l'Intifada est composée d'enfants dont on a volé l'enfance et dont les armes sont les pierres et la volonté de terminer leurs études.
La nouveauté de cette 16ème édition consiste en la création du Prix de cinéphilie Don Quichotte à l'initiative de la Fédération nationale des cinéclubs au Maroc, qui a été décerné par la majorité au film burkinabé «Moi Zaphira» du réalisateur Apolline Traoré.
Le programme de cette édition a été ponctué de projections cinématographiques en salles et au profit des personnes à besoins spécifiques, d’un colloque autour du thème "La coproduction entre le Maroc et les cinématographies africaines", d’ateliers de formation, d’une caravane des villages miniers, et de projections à la prison locale de Khouribga.
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