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Même si des partis populistes et d'extrême droite ont amélioré leurs scores lors de différentes élections organisées récemment en Europe, parler d'une montée de la xénophobie est "une mauvaise interprétation" de la nouvelle situation en Europe, selon des chercheurs de l'Université suédoise d'Umea.
Les sociologues Andrea Bohman et Mikael Hjerm ont souligné, qu'il y a plusieurs facteurs ayant contribué à la hausse de popularité de ces partis, dont une meilleure organisation et un message politique plus élaboré qui séduit une partie de l'électorat.
"En théorie, on s'attendait à ce que la présence plus remarquée des partis de l'extrême droit fasse ressortir des comportements anti-immigration, mais ce n'est pas le cas ce qui est d'ailleurs surprenant", a souligné Hjerm dans des déclarations à la presse locale.
La recherche a porté sur les comportements de la population vis-à-vis des immigrés ainsi que sur l'effet que peuvent avoir les partis d'extrême droite sur la population, a-t-il dit.
En Suède, le parti d'extrême droite des Démocrates de Suède a plus que doublé son score aux élections générales organisées le mois dernier, en remportant 12,9% des voix.