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Il demande à Ban Ki-moon, dans un délai de quatre mois, de lui dire si la mission est désormais apte à fonctionner à plein tout en se déclarant prêt, si ce n'est pas le cas, "à envisager les meilleurs moyens de faciliter la réalisation de cet objectif".
Le texte ne prévoit cependant aucune sanction ni mesure coercitive pour forcer le Maroc à revenir sur sa décision, mais les tractations n’étaient pas des plus simples. Les représentants de la Russie, du Venezuela, de l’Uruguay et de l’Angola ont demandé un temps supplémentaire pour pouvoir consulter leurs capitales respectives sur la nouvelle mouture, selon la même source.
Les représentants de ces pays ont refusé de s’engager dans un tel projet avant de prendre les avis de leurs gouvernements.
Ces actions de coordination avec les gouvernements pourraient retarder l’adoption de la résolution jusqu’à aujourd’hui, précise-t-on de même source.
En attendant, les consultations sur ce projet de résolution se poursuivront ce matin au niveau des experts et des représentants permanents des membres du Conseil de sécurité.