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Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taib Fassi Fihri, a déclaré que le Maroc rejette totalement les allégations de certains médias et organisations étrangers, qui se sont empressés de recourir à la désinformation, faisant état “d’arrestation”, de “pression”, de “contrainte exercée” sur la dénommée Aminatou Haidar ou encore de “violation de la légalité internationale”.
Et le ministre de demander pourquoi l’intéressée a choisi aujourd’hui de ne pas reconnaître sa nationalité marocaine après avoir usé et abusé, des années durant, du passeport marocain, au service de son activisme à l’étranger, encadrée par les chancelleries algériennes.
Pourquoi a-t-elle eu recours à cette démarche surprenante et intentionnnelle au lendemain des contacts entrepris par un groupe d’individus à Alger et à Tindouf avec des responsables sécuritaires et militaires? se demande le ministre.
“Quelques personnes, dont Aminatou Haidar, qui ont été identifiées ne sont pas des militants supposés des droits de l’Homme ou de la liberté d’expression mais bel et bien des personnes qui travaillent au service d’un agenda défini à l’extérieur par les adversaires connus de l’intégrité territoriale” du Royaume, a-t-il souligné.
Pour leur part, tous les partis politiqués ont dénoncé, rejeté et condamné les propos de Aminatou Haidar et les considèrent comme une provocation à l’égard de tous les Marocains. D’un autre côté et à l’issue de sa neuvième session ordinaire tenue, samedi, à Casablanca, le Conseil supérieur des Ouléma a rappelé à la Nation marocaine les impératifs de la Béiâ qui lie le Trône au peuple pour la défense de l’unité de la patrie. Il a fait remarquer également que quiconque déroge à cet impératif ne peut être qu’un séditieux qui déserte la Oumma, un traître au service de convoitises étrangères visant à porter atteinte à l’unité de son pays, se faisant ainsi l’exécutant du projet colonialiste, basé sur la division, que les Marocains ont mis en échec, grâce à leur Jihad et leurs immenses sacrifices.