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L’adhésion à un traitement est habituellement définie par l’aptitude du patient à respecter les recommandations du professionnel de la santé, indique l'étude précisant qu’une bonne communication médecin-patient est corrélée à une meilleure adhésion, et la confiance du patient envers le médecin peut donner plus de crédit au choix d’un traitement.
Selon l’étude, quatre grandes stratégies permettent l’adhésion thérapeutique des patients rhumatisants, à savoir la simplification de la prise médicamenteuse en privilégiant les traitements à long terme et la voie transcutanée hebdomadaire plutôt que la voie orale, pour mieux amortir les irrégularités d’horaire.
L’encouragement du patient par le biais d’une messagerie de groupe, ou par des systèmes dotés de récompenses à respecter son traitement, est également recommandé, ainsi qu’une éducation thérapeutique du patient qui intervient en complément des traitements habituels, pour lui permettre de mieux comprendre sa maladie, outre une meilleure prise en charge du coût des médicaments par un tiers payeur.
Les facteurs retrouvés comme responsables d’une non adhésion thérapeutique peuvent être soit liés au patient (doute, oubli, déni...), soit environnementaux (coût, horaire de prise, voyage...), soit en rapport avec le traitement (tolérance, manque de prescription, complexité) ou avec la relation médecin-malade.
Parmi les modèles théoriques du comportement humain, il y a le modèle socio-cognitif qui explique actuellement au mieux l’adhésion thérapeutique. En effet, après avoir consulté des médecins traitants, il s'est avéré que c’est le patient qui décide lui-même s’il prendra ou non son traitement selon son propre bon sens, même si sa décision peut paraître infondée aux yeux du soignant, ajoute la même source. La SMR est une société savante regroupant des personnes s’intéressant aux maladies de l’appareil locomoteur. Elle a pour objet l’étude des maladies de l’appareil locomoteur, la promotion des connaissances les concernant, la réalisation d’expertises sur des problèmes d’intérêt général touchant l’épidémiologie, la prévention, le droit et l’information des malades, et de répondre et susciter des demandes spécifiques d’organismes de portée nationale ou internationale.