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Or, la pratique et le comportement quotidien des gouvernants de Tel Aviv démontrent le contraire. C’est un fait notoire qui est dénoncé par des Israéliens eux-mêmes. Il existe certains qui ne peuvent admettre les agissements racistes de leur gouvernement. On sait par exemple comment les Falachas d’Ethiopie considérés comme les aïeux des juifs, après avoir été ramenés de leur pays par des vols charters et accueillis avec fanfare, sont aujourd’hui maltraités. Ils sont destinés à de sales besognes et victimes d’actes de racisme flagrant.
Une autre catégorie de population vivant en Israël fait également l’objet de racisme. Il s’agit des Arabes israéliens ou ce qu’on appelle les Palestiniens de 1948, ceux qui n’ont pas voulu quitter leur terre, et qui y sont restés malgré les exactions permanentes des autorités israéliennes.
Ne pouvant plus supporter le comportement de ces autorités à leur égard bien qu’ils bénéficient de la citoyenneté israélienne, ils ont décidé pour la énième fois de s’adresser aux instances onusiennes pour dénoncer les agissements inhumains et racistes à leur encontre.
Les Palestiniens de 1948 demandent notamment à l’ONU d’obliger Israël à cesser sa politique de discrimination raciale à leur égard.
N’est-ce pas peine perdue ? Depuis quand Israël se conforme-t-il aux décisions ou injonctions des instances onusiennes ? Il se plaît à dire et répéter qu’il n’est point concerné par les décisions de l’ONU ou tout autre instance internationale. Il se considère tout simplement au-dessus des lois.
Qu’il soit rappelé à l’ordre ou condamné, rien ne l’inquiète tant il sait qu’il bénéficie du soutien constant de l’Oncle Sam qui peut toujours user de son droit de veto au Conseil de sécurité de l’ONU pour faire avorter toute condamnation qui le contrarierait !