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Quel crédit accorder à cette rencontre lorsque l’on sait que c’est Israël qui possède l’unique arsenal nucléaire estimé à 200 têtes mucléaires?
Si la plupart des pays du Proche-Orient sont signataires de la Convention de non-prolifération des armes nucléaires, Israël fait exception et se dit ne pas être concerné à cause du danger que représentent les pays arabes pour lui. Il omet de dire cependant que c’est lui en fait qui constitue un gros risque pour les Etats voisins.
Dans ce cas, comment faut-il interpréter la démarche d’Israël de participer avec ses voisins à une réunion pour dénucléariser la région ?
Cela émanerait enfin d’une bonne intention ou seulement d’une nouvelle manigance du gouvernement israélien pour ne pas s’engouffrer plus dans l’isolement dans lequel il se trouve à cause de la politique extrémiste et du fait accompli imposé par le Premier ministre Benyamin Netanyahou.
Il faut dire que Netanyahou n’a pas attendu le début de la rencontre de Vienne pour commencer à tergiverser, affirmant que son pays ne se sentirait concerné par quoi que ce soit tant que l’Iran n’est pas désarmé!
Ainsi donc, Israël commence par poser des préalables.
C’est dire s’il faut accorder une once de sérieux à ce pays et à son gouvernement sous la conduite d’un Premier ministre mythomane.
En tout cas, la réunion entre Israël et ses voisins sur la dénucléarisation de la région aura lieu dans quelques jours. On verra alors comment les choses vont évoluer.