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Est-ce pour ces raisons que le ministère de l’Education nationale a diligenté son actuelle enquête ? Celle-ci déterminera-t-elle toutes les responsabilités en la matière ? S’attaquera-t-elle à tous ceux qui ont peu ou prou contribué à ces irrégularités présumées ou couvert celles-ci ? Autant de questions auxquelles l’on ne pourra avoir de réponses sans connaître les résultats de l’enquête. Il n’en demeure pas moins que l’objet de la mission d’inspection semble ne pas être à même de permettre à celle-ci d’aller au fond des choses. En effet, tous les faits incriminés ont été soumis, étudiés et approuvés par le Conseil d’administration de l’Académie qui, comme chacun le sait, est présidé par le ministre de l’Education nationale. Ce dernier, rappelle-t-on, est le seul habilité à approuver les décisions du Conseil et en particulier le budget de l’Académie et à leur donner un caractère exécutoire.
Mais l’on doit se demander pourquoi ledit directeur dont l’exercice fait l’objet d’une inspection diligentée sur l’ordre de Mohamed El Ouafa a été promu récemment directeur de l’Académie de la capitale du Royaume.