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«Je ne dis pas que les acteurs afro-américains ne doivent pas être «castés»… Je crois que le public international du cinéma est raciste - en général, les films avec une star afro-américaine ne marchent pas bien à l’étranger », lit-on dans un mail d’un producteur, dont le nom a été masqué. «Sony semble parfois ignorer qu’un film doit bien travailler à l’échelle internationale à la fois pour maximiser les rendements et réduire les risques, en particulier pour les films avec des budgets assez importants», précise ledit mail.
Mais il faut dire que les producteurs s’étaient bien trompés sur Denzel Washington, et leur hésitation quant au choix de celui-ci dans le rôle principal de «The Equalizer ». En effet, le film a cartonné et Sony avait frappé fort au box-office américain, avec 35 millions de dollars de recettes pour son premier week-end en salles.
Originaire de New York, Denzel Washington fait ses débuts au cinéma en 1981 dans «Carbon copy», suivi trois ans plus tard du film «A Soldier’s Story» et de «Cry Freedom», qui lui permet de décrocher une nomination aux Oscars. Il remportera le prix en 1989 avec «Glory». Les années 90 vont faire de lui une star à la renommée mondiale, notamment avec «Mo’ Better Blues» de Spike Lee, « Malcolm X », « Beaucoup de bruit pour rien » , « Philadelphia » ou encore « L’Affaire Pélican » aux côtés de Julia Roberts. En 1999, il est à l’affiche de Hurricane Carter qui lui vaudra une autre nomination aux Oscars avant de le remporter pour le film « Training ».
Il est à rappeler que les auteurs de cette attaque informatique, qui ont signé leur action du nom de «Guardians of Peace» (GOP), traduire: gardiens de la paix, affirment avoir récupéré 100 téraoctets de données, mais pour l’instant, seule une infime partie de ces informations a été divulguée sur des sites de « torrent » comme The Pirate Bay, Github ou Pastebin.
La police fédérale américaine a, pour sa part, affirmé dans un communiqué rendu public récemment que « le FBI a récolté suffisamment d’informations pour conclure que le gouvernement nord-coréen est responsable de ces actions ». La Corée du Nord avait pourtant nié toute implication dans l’affaire.