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Selon cette étude dont quelques éléments ont été rendus publics hier par ce journal sur son portail, 30 % de ces jihadistes seraient originaires des provinces de Tétouan et Tanger.
La capitale du Détroit figure en tête des villes d’où proviennent les jihadistes marocains (16,6 %) qui combattent dans les rangs des organisations terroristes, notamment “l’Etat islamique » (Daech), suivie de Fès (15 %), Casablanca (13,8 %), Tétouan (13,4 %) et Salé (9 %). Les 32 % des jihadistes restants se répartissent entre 40 autres villes marocaines.
Le quotidien a également rappelé, dans ce sens, les chiffres annoncés en juillet dernier par le ministre de l’Intérieur, Mohamed Hassad devant les parlementaires estimant le nombre de jihadistes à 1.122, alors que le patron de la Direction générale des études et de la documentation (DGED), Yassine El Mansouri, avait indiqué, en septembre dernier lors d’une visite aux Etats-Unis, qu’il y a 1.193 jihadistes.
Un rapport américain avait, quant à lui, estimé, en octobre dernier, que le nombre de jihadistes marocains oscille entre 1.500 et 2.000 personnes.
A noter que les forces sécuritaires marocaines ont montré l’efficacité de leur organisation en démantelant plusieurs cellules terroristes chargées de recruter des jihadistes pour le compte de l’organisation de « l’Etat islamique » depuis le début de cette année. Les dernières arrestations en date ont eu lieu lors de l’opération conjointe menée entre la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) et la Direction générale de surveillance du territoire (DGST), laquelle opération s’est soldée par l’arrestation de quatre suspects de nationalité française à Laâyoune et Marrakech.
En août dernier, une autre cellule jihadiste avait été neutralisée lors d’une opération « menée sur la base d’investigations minutieuses effectuées en étroite collaboration avec les services de sécurité espagnols ». En outre, les polices espagnole et marocaine avaient démantelé, le 14 mars 2014, une autre cellule qui envoyait des combattants en Syrie, au Mali et en Libye. Sept personnes dont deux Français avaient été arrêtées dans ce cadre.