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Les positions exprimées varient entre le rejet catégorique de toute relation avec Israël tant qu'il occupe les terres arabes et confisque les droits du peuple palestinien à l'indépendance et à la souveraineté et la possibilité d'établir des relations culturelles ou sociales, en particulier avec des Marocains de confession juive qui ont émigré en Israël, "ce qui a constitué un détachement émotionnel des Marocains en Palestine". Le film évoque également les positions de l'écrivain feu Edmond Amran El Maleh, l'écrivain Jacob Cohen et l'acteur associatif Sion Assidon, qui sont des Marocains juifs antisionistes, ayant dénoncé en particulier les conditions difficiles dans lesquelles un grand nombre de juifs marocains ont été déportés en 1948 vers la Palestine occupée. Le film documentaire recueille aussi les témoignages d'intellectuels et acteurs politiques et associatifs, tels que Ahmed Chahlan, Hassan Aourid, Abderrahmane Benaomar, Mohammed Benjelloun Andaloussi et Said Khalid Al Hassan.
A cette occasion, les organisateurs ont annoncé la tenue prochainement d'un séminaire sur le sujet, soulignant que la difficulté à laquelle ils ont été confrontés lors de la réalisation de ce film documentaire, était de "concilier entre deux visions : l'une estime que la visite d'Israël est une chose normale et naturelle, et l'autre évoque l'histoire et considère que la visite en Palestine est conditionnée par la récupération des droits des Palestiniens et que chaque visite est une normalisation.